- « Bienveilleur... je le fais déjà à ma manière, pourquoi me donner une étiquette ? »
Se faire reconnaître comme Bienveilleur, c’est entrer dans une démarche de paroisse, en lien avec les autres Bienveilleurs et les personnes « coups de main ».
- « Je ne suis pas toujours là, puis-je être Bienveilleur ? »
Oui, bien sûr. Être Bienveilleur demande surtout le désir et la possibilité de connaître son voisinage et la vie de quartier.
- « Je ne connais pas tous mes voisins, c’est difficile ! »
Justement, le fait de devenir Bienveilleur va m’encourager à aller davantage vers mes voisins, dans la discrétion.
- « Si j’entends parler d’une détresse, devrais-je trouver seul la solution ? »
Pas forcément, chaque Bienveilleur s’appuiera sur la liste des « coups de main » et pourra demander l’aide de la coordination des Bienveilleurs.
- « Ne risque-t-on pas d’être indiscret ? »
L’action des Bienveilleurs demande tact et discrétion. Il ne s’agit pas d’imposer nos idées aux personnes en difficulté mais de proposer.
- « Devenir Bienveilleur prendra-t-il beaucoup de temps ?”
L’activité de Bienveilleur s’intègre dans notre vie ordinaire : être attentif aux autres ne requiert pas d’abord plus de temps. Côté paroisse, les Bienveilleurs se réuniront deux fois par an pour un temps de partage et de formation.